Dakar/ Senegal Dak'Art Art Biennale Mai/ May 2016
Kunstbiennale 2016
http://www.goethe.de/ins/sn/dak/kul/dus/bie/deindex.htm
http://www.goethe.de/ins/sn/dak/kul/dus/bie/frindex.htm
MOVIE https://www.youtube.com/watch?v=FBnKSbezTZU
https://www.flickr.com/photos/pgeist/27151861362/in/album-72157661713503523/ Videomapping
Auf der Biennale Dak'art 2016: Eine Premiere im Senegal ! In drei magischen Nächten erstrahlten im Rahmen der Biennale Dak'art 2016 drei Gebäude der Stadt Dakars in einem anderen Licht durch ein Videomapping-Projekt und seinem Spiel mit Licht, Architektur sowie der Verzerrung und Erweiterung des Raumes. Das Videomapping ist eine Technik, bei der Licht, oder Videos auf Objekte projiziert werden, um Bilder auf Reliefstrukturen oder Monumenten zu erschaffen. Wie eben einem Traum entsprungen, wurden drei geschichtsträchtige Gebäude Dakars, verwandelt von drei Künstlern, mit schillernden Farben zum Leben erweckt. Kaum an derartige technische Meisterleistungen gewöhnt, wurde das Publikum buchstäblich in ein anderes Zeit-Raum-Kontinuum Dakars versetzt, gebannt durch die Vorführung: eine Melange aus Ton und Licht. Durch die strategisch günstige Position der Gebäude konnten zufällige Passanten ebenfalls an dem Spektakel teilhaben. Lo Das Projekt, das den Namen « Dakar, carrefour des cultures - ces signes aux murs » trägt, verlief in mehreren Phasen. Den Anfang machte Aurélien Lafargue, ein professioneller Videomapper. In einem Workshop, der am IAM (Institut Africain de Management) stattfand, teilte und vermittelte er sein Wissen an senegalesische Künstler. Diese konnten anschließend das Gelernte mit in das Projekt speisen und anwenden. Die Mitarbeiter kollaborierten insgesamt mit Künstlern aus Frankreich, wie Aurélien Lafargue, welcher die Mauern des Rathauses in ein Kunstwerk verwandelte, aus Spanien, wie Fausto Morales, der die Fassade der Polyklinik in Medina bestrahlte, und aus Deutschland, wie Philipp Geist, der das Videomapping auf den Mauern des alten Bahnhofs von Dakar durchführte. Klangkünstler wie Ibaaku, Mourad Bennacer, Hyperpotamus et Brahim Wone begleiteten das Projekt. Mit originalen Kompositionen fügten sie den Shows eine musikalische Komponente hinzu. Die Abende wurden begleitet von Konzerten, renommierte Musiker wie Mao Sidibé, Brahim, Ngaaka Blindé, Fuk N Kuk, Carlou D, Matador et Omar Pène boten ruhige und entspannte bis tanzbare sowie anheizende Performances. « Dakar, carrefour des cultures - ces signes aux murs » kam zustande durch die Kooperation zwischen der Delegation der EU, dem Cluster EUNIC (European Union National Institutes of Culture) und dem Initiator des Projekts; die Assoziation Ker Thiossane, die die einleitenden Schritte vornahm. Die fruchtbare Kollaboration der drei Institutionen ist besonders zu unterstreichen. Das erste Mal zusammen arbeitend, erreichten sie ihr Ziel, die Kräfte zu bündeln. Dieses Beispiel der Zusammenarbeit zwischen EUNIC und der EU ist ganz in Übereinstimmung mit der aktuellen Kulturpolitik der EU und öffnet den Horizont für eine künftige Zusammenarbeit . Der Direktor des Goethe Instituts, Michael Jeismann, ist derzeit Präsident von EUNIC. Das Institut war deshalb intensiv an der Realisierung des Projekts beteiligt, vor allem durch die Einladung des renommierten deutschen Künstlers Philipp Geist und durch den Vorschlag, den herausragenden Gitarristen Brahim Wone als Live-Klangkünstler in die Videomapping-Show am alten Bahnhof von Dakar am 20. Mai mit einzuspannen. Eine besonders originelle Initiative wurde darüber hinaus an diesem Abend auf den Weg gebracht. So verließ ein Zug « Le Petit Train Bleu » die am Stadtrand von Dakar gelegene Stadt Thiaroye, um das Publikum kostenlos zum Bahnhof zu transportieren. Als Zugabe an Board: die Rapper Matador und Ngaaka Blindé. In Anbetracht der Tatsache, dass Dakar von der UNESCO zur« ville créative numérique » gewählt wurde, erlangt dieses Projekt einen noch größeren Stellenwert in der Kulturlandschaft Westafrikas. Der Erfolg dieses Events resultiert ebenfalls aus der gelungenen Realisierung der technischen Seite des Projekts, die im Senegal generell nicht immer gewährleistet werden kann, sei es aus Mangel an Equipment oder aufgrund technischer Probleme. Als Teil des in "In"- Programms der Biennale des Arts Africans Contemporains « Dak'art 2016» und dank des von Ker Thiossane organisiertem Festival Afropixel trugen die drei Abende zur guten Sichtbarkeit des Projektes bei. Diese drei magischen Nächte werden in unserem Gedächtnis bleiben als ein starker und bewegender Moment der Biennale. Du Vidéo Mapping à la Biennale Dak'art 2016, une première au Sénégal ! Pendant trois nuits magiques, trois édifices de la ville de Dakar ont été magnifié grâce au Vidéo Mapping et ses jeux de lumière spectaculaires dans le cadre de la Biennale Dak'art 2016. Le Vidéo Mapping est une technique qui permet de projeter de la lumière ou des vidéos sur des volumes afin de recréer des images de grandes tailles sur des structures en relief, tels des monuments. Comme tout droit sortis d'un rêve, trois majestueux bâtiments de la ville de Dakar ont été inondés de couleurs chatoyantes, transformés par trois artistes, embellis au gré de leur imagination. Peu ou pas habitué à de telles prouesses techniques, le public a été littéralement transporté dans un autre Dakar, subjugué par ces performances mêlant son et lumière. Grâce au positionnement stratégique des édifices, les passants non-avertis ont assisté de manière spontanée au show. Lo Le projet intitulé « Dakar, carrefour des cultures - ces signes aux murs » s'est déroulé en plusieurs phases. En prélude, Aurélien Lafargue, un professionnel de Vidéo Mapping était venu partager son savoir-faire lors d'un atelier qui s'est tenu à l'IAM (Institut Africain de Management). Les apprentis Vidéos artistes ont ensuite pu réinjecter leurs acquis dans le projet. En effet, ils ont collaboré avec des artistes pro' venus de la France pour Aurélien Lafargue qui a investi les murs de l'Hôtel de Ville, de l'Espagne pour Fausto Morales qui a mappé sur les murs de la Polyclinique de la Médina et de l'Allemagne pour Philipp Geist qui s'est réapproprié les murs de la Gare de Dakar. Des concepteurs sonores se sont joints au projet, ainsi Ibaaku, Mourad Bennacer, Hyperpotamus et Brahim Wone ont été convié à créer des compositions originales et à donner ainsi une dimension musicale au show. Les soirées étaient agrémentées de concerts, des musiciens de renom : Mao Sidibé, Brahim, Ngaaka Blindé, Fuk N Kuk, Carlou D, Matador et Omar Pène, ont offert de belles performances. « Dakar, carrefour des cultures - ces signes aux murs » a vu le jour grâce à la coopération entre la Délégation de l'Union Européenne, le cluster EUNIC (European Union National Institutes of Culture), concepteur du projet et l'association Ker Thiossane qui s'est chargée de la mise en oeuvre. Il faut souligner la collaboration fructueuse de ces trois entités qui travaillaient ensemble pour la première fois et qui ont réussi à atteindre leur objectif en harmonie. Cet exemple de collaboration entre EUNIC et l'Union Européenne est complètement en phase avec la politique culturelle menée actuellement par l'U.E. et ouvre l'horizon sur une future collaboration. Le directeur du Goethe-Institut Michael Jeisman est actuellement le Président d'EUNIC, l'Institut a donc participé de manière active à la réalisation de ce projet notamment en invitant l'artiste allemand Philipp Geist et en proposant le guitariste Brahim Wone comme concepteur sonore de la soirée qui s'est tenue le 10 mai à la Gare de Dakar. Une initiative particulièrement originale a été mise en oeuvre ce soir-là. En effet, un tain « Le Petit Train Bleu » a quitté la ville de Thiaroye en banlieue dakaroise pour transporter gratuitement le public vers la gare en prime à son bord, les rappeurs Matador et Ngaaka Blindé. Ce projet prend d'autant plus de sens quand on sait que Dakar a été choisie par l'UNESCO comme « ville créative numérique ». La réussite de cet événement réside également dans la réalisation de prouesses techniques qui ne sont pas toujours aisée au Sénégal notamment à cause du manque d'équipements ou de problème technique. Inscrits dans le programme du IN de la Biennale des Arts Africains Contemporains « Dak'art 2016» à travers le Festival Afropixel organisé par Ker Thiossane, les trois soirées ont bénéficié d'une belle visibilité et ont remporté un vif succès. Ce projet de Vidéo Mapping restera gravé dans les mémoires comme un des moments forts de cette Biennale. |